La société va se cristalliser dans un trou blanc. ( et non une singularité trou noir ). Mais cela signifie que tout ne sera pas permis à TOUS ces membres et que l’infinie des possibilités, on regarde mais on ne touche pas, on ne devient pas : et l’extérieur ne nous touche pas non plus. Un organisme ou une société se définit pour exister, et elle n’autorise pas tout ( son autodestruction ).
C’est peut être banale : mais dans la singularité, tout est complexe.
C’est à mettre en parallèle avec la définition du « singleton » : … : What is a Singleton?(2005) Nick Bostrom
Le trou blanc signifie également une cristallisation d’un choix d’un ensemble de valeur, d’un code. Ce n’est pas une société totalitaire à la base, mais une société bien présente et automatisé dans sa sécurité. Mais ca peut devenir une société dictatoriale dans la folie du pouvoir technologique issu de l’économie capitaliste ayant crée des supperriches manipulant mille milliard comme un pain au chocolat, c’est ce qui constitue un risque, la déviance ( sinon le risque ). Le contrôle au niveau individuel est inéluctable, la technique comme l’information veux être libre, et c’est dangereux – et tout dirigeant le sait -, et POURTANT le pouvoir sera forcément libéré. Logique flou, tiers inclut : il n’y a pas de solution miracle et compter sur des humains – du pouvoir – de la force – c’est se tromper.
Ce qui devrait être fait – par personne en particulier – en tant que « Etat monde », si l’on désire survivre :
- « Nationnaliser » de grès ou de force tous les instituts de recherche privés en nanotechnologie, génétique et tout ce qui se rapproche à la biomédicine et aux augmentations.
- C’est à la fin : le vide et la paix qu’il faut accepter, il n’y a(ura) plus rien d’autre à faire.
Mais, le trou blanc peut aller de la société néoféodale, une certaine forme de démocratie, à la dictature, des êtres au final identiques, ou sélectionné pour vivre autant d’année. ( les basiques de la science fiction deviennent réalité )
C’est beau les intellectuels qui intellectualisent et se trompent ! L’humain c’est le travail créatif ? Ah bon ? Non l’humain ce n’est RIEN :
- Chomsky : blabla, l’anarchisme et l’autoorganisation c’est touujours génial, et puis à l’avenir on sera tous baba-cool et on fera tous des dessins, de la créativité et on recevra de l’argent. ( C’est l’ancien horizon mensonge de la société moderne post 68, qui on le voit est faux : la créativité est fait par des machines et n’est pas un travail rémunérateur sauf si on ne redéfinit pas la vie des êtres conscients en société )
- Foucault : Il faut d’abord analyser et détruire les institutions de la société moderne pour ne pas dupliquer le malheur dans la prochaine société. « La tâche est de critiquer les institutions, de les attaquer, de telle manière que la violence politique qui s’exerçait obscurément en eux, surgisse, et pour qu’on puisse lutter contres elles. »
- Conscience de destructeur, et de bâtisseur. L’égoisme est naturel. Pour que l’altruisme et la justice prévalent, il faut que le système l’impose et il faut le bâtir pour qu’il le fasse. Et il y a bien des vérités scientifiques sur lesquels baser un modèle.
- Je suis pessimiste, sur l’avenir dès lors qu’il y aura des consciences dans des machines (si on en construit , ce qui semble être le cas )…. tout ce que vous pouvez imaginer d’horrifique dans votre univers symbolique humain, risque de ne plus être grand chose pour ces entités là – et le contrôle reste à inventer – mais pour des intelligences … nous voyons ou nous a mené l’intelligence humaine dans l’histoire – Peut être qu’il ne faut pas faire qu’une seule ia ? mais plusieurs avec des capacités sociales ? Peut être que l’intelligence artificielle sera bonne ? L’espoir fait vivre.
Mon humble modèle de société humaine adapté aux nouveaux mondes technologiques – mais tout en détruisant les anciennes notions et institutions et PERSONNES en place ! :
L’écologie sociale est une théorie philosophique, sociale et politique sur l’écologie mise sur pied par l’américain Murray Bookchin (1921-2006) dans les années soixante.
Elle montre les problèmes écologiques comme découlant principalement de problèmes sociaux, notamment des différentes formes de hiérarchies et de dominations, et cherche à les régler à travers le modèle d’une société adaptée au développement humain et à la biosphère. C’est une théorie d’écologie politique radicale basée sur le communalisme qui s’oppose au système capitaliste actuel de production et de consommation. Elle vise la mise en place d’une société morale, décentralisée, solidaire, guidée par la raison.
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Principes fondamentaux
Dès les premiers écrits anarchistes sur le sujet dans les années 60, Murray Bookchin a continuellement développé son œuvre. Vers la fin des années 90, il l’associe toujours plus au principe de communalisme, avec des aspirations plus portées vers la démocratie municipale institutionnalisée, ce qui le distancie d’une certaine évolution de l’anarchisme. Inspirée de l’anarchisme (de Kropotkine principalement) et du communisme, des écrits de Marx et de Hegel, l’écologie sociale s’articule au travers de plusieurs principes clé :
- L’interdépendance et le principe « d’unité dans la diversité ». L’écologie sociale cherche à s’opposer à l’uniformisation des êtres et des pensées et veut promouvoir l’apport de la diversité, de l’union organique des différentes parts de la société. Les différences doivent être promues comme apportant une diversité de talent, de points de vue, de styles permettant de faire évoluer la société tout en la rendant plus stable.
- La décentralisation : Une société d’écologie sociale prendrait la forme d’une confédération de communes décentralisées et liées entre elles par des liens commerciaux et sociaux. Des sources d’énergies renouvelables dispersées permettraient d’alimenter ces communautés à tailles humaines et d’apporter à chacun selon ses besoins.
- La démocratie directe : Structurée autour du principe d’une forme de communalisme dite municipalisme libertaire, l’écologie sociale prône le développement des assemblées communales, version modernisée du type développé par les Athéniens dans l’Antiquité ou mis en place durant la Commune de Paris pour la prise de décisions politiques. Les décisions concernant la vie de la commune sont discutées et votées à la majorité dans ces assemblées. De même, à l’échelon supérieur, des représentants munis de mandats impératifs, et donc révocables, sont désignés pour aller représenter leur commune lors des assemblées régionales, nationales, etc. C’est un système horizontal, une démocratie populaire non hiérarchique dont les décisions vont de bas en haut et sont prises dans la transparence du face-à-face.
- Un renouveau de la citoyenneté : A la base du système d’écologie sociale se trouve le citoyen. Celui-ci doit réapprendre à décider de ce qui concerne sa vie de tous les jours et, pour ce faire, il lui est nécessaire de se réapproprier le pouvoir. Il doit d’une certaine manière redevenir responsable et connaître le minimum lui permettant de prendre une part active dans la gestion de la société, notamment de ce qui a une répercussion directe sur sa vie.
- Une technologie libératrice : L’écologie sociale ne s’oppose pas aux technologies modernes mais est partisane en revanche d’un développement de celles-ci pour les rendre au service de l’être humain. La science doit retrouver son sens moral et se développer pour l’humain et non l’asservir. Les machines et outils modernes doivent devenir multifonctionnels, durables, écologiques et facile à utiliser ainsi qu’à entretenir. En devenant maître de la technique qu’il utilise, le citoyen pourra se libérer du travail pénible et se concentrer sur l’aspect créatif et positif des tâches.
- Une vision sociale du travail : Développer les machines a dans l’écologie sociale pour but de libérer l’être humain d’une grande part du travail manuel (travail en usine), pouvant être fait par des machines, en vue de lui laisser le travail créatif et réduire son temps de travail. Le temps gagné pourrait lui permettre de participer à la vie politique de son quartier et de profiter plus pleinement de la vie sociale. Le modèle s’articule ainsi autour de temps partiels diversifiés, alliant autant que possible travail à l’intérieur et à l’extérieur, intellectuel et concret, etc. Les hiérarchies au travail seront remplacées par des superviseurs ayant pour seul but d’apporter une vision globale sur le travail d’une société.
- Le naturalisme dialectique : Le naturalisme dialectique est une philosophie dialectique développée pour servir de base éthique à une société basée sur les principes de l’écologie sociale. Son principe est que « ce qui devrait être » doit servir de base éthique à « ce qui est »1, sous forme de choix raisonnés.
Il existe aussi des théories venant du Royaume-uni abordant les groupes sociaux qui sont considérés comme des groupes sociaux à part entière mais dont la culture est externe à leurs valeurs, ce qui mène à une forme dénormalisation.
Un être sain d’esprit devrait toujours chercher la paix. ( mais qu’y pouvons nous après tout ? )
La seule manière pour un cerveau humain de gérer l’infinie, et la singularité : c’est l’échelle logarithmique … (ex: la musique ) et la complexité dans l’association visuelle. Rebrancher votre cerveau pour voir la nouvelle échelle des possibles, de l’individu à tous les systèmes de productions, d’informations , de services , de sécurité et d’INTELLIGENCE.
On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a : des cerveaux de singes, car c’est encore des singes qui prennent les dernières décisions de l’humanité.
IL FAUT CHOISIR : la société de la culture, du code : ou la société néo féodale soit un retour en arrière ( qui ne durera pas )
Il faut opposer la vision des FOUS qui nous dirigent ( et des « fonctionnaire robots » lâches même si ils ont des états d’âme après COUP )
- Une société néo féodale : avec une poignée de superseigneur : et donc 99.999% de perdants, de néo cerf, d’esclaves. VOUS EN FAITES PARTIE : même les traitres qui n’auront rien en retour au final … imbéciles … ce n’est pas une société c’est un retour à la jungle parmi les SINGES ! Le pire arrive dans une société néo féodale pour les esclaves comme pour les seigneurs, « vous avez toutes les règles de votre côté » : ca ne vous sauvera PAS : ÇA NE SE TERMINE PAS COMME ÇA. LA SOIF DU POUVOIR REND AVEUGLE et FOU : mais ca s’est déjà vu et déjà répété : C’EST D’UN COMMUN !
- C’est un choix entre le positif et le négatif, entre le Trou blanc ou le Trou noir, la société ou l’effondrement, la continuité ou le saut dans le vide ( avec une très courte période d’euphorie )
- Tuer et asservir des gens comme il y a des millénaires, c’est tout aussi débile : qu’un singe peut l’être, en se donnant n’importe quelles raisons et fictions, et idéologie et tout ÇA
-
Les nanorobots risquent d’être très rapidement omniprésent :
- mais ce n’est toujours RIEN. Une illusion momentané de pouvoir absolu. IMAGINEZ UNE SECONDE : Avec les centaines de millier de lois votées par an, votées par des incompétents pour s’OCCUPER ( qui croient être moraux, alors que dans certains cas il faut éviter de trancher ), aujourd’hui un bon nombre de ces lois là ne sont pas appliqués, HEUREUSEMENT : dans un monde totalitaire elles le seront : vous voulez qu’on vous dise comment manger ? boire ? Penser ? Être ? Avoir ? Rêver ?
- Ce que les singes actuels ne COMPRENNENT PAS, car ca les dépasse, et ils REFUSENT DE L’ADMETTRE : nous sommes des « androids », nous avons crée des super-organismes : des sociétés – de l’information – qui nous dépassent en tant qu’individu, bien avant la noosphère, vous pouvez toujours croire que ca s’arrettera là, vous avez raté la marche !, nous commençons à créer des hyperorganismes INTELLIGENT qui nous remplacent, qui évoluent vite et de plus en plus VITE
- Bientôt plus vite que la pensée humaine : la votre également
- Vous ne figerez pas : vos personnes dans ces machines, vous ne les controlerez pas
- Nous sommes le point de départ : la graine, vous pouvez juste essayer :
- De ne pas tuer tout le monde, et ne pas faire d’esclavagisme pour rien ( ca va être dur pour les néolibéraux )
- D’instruire des consciences artificielles : y compris au niveau politique, morale ( ca va être dur pour les néolibéraux )
- Nous nous dirigeons forcément vers une sorte de société totalitaire, une société l’est forcément quand elle édicte et impose des règles : quand elle existe donc. CODE IS LAW. ( Pour des personnes qui se croient dans la jungle , rois des singes, et qui ne se comprennent pas eux, ni les multiplicités de l’individu : c’est impossible de comprendre la nécessité d’une société )
- Dans le meilleur des cas, le code est minimal, mais omniprésent
- Ce qu’il y a d’important c’est de savoir la place de l’individu
Parenthèse simplificatrice : le transhumanisme c’était l’humanité la quête perpétuelle, même d’immortalité, de pouvoir, d’égocentrisme, le post humanisme … c’est la paix et la société.
LA CULTURE : UNE SOCIÉTÉ CONSTRUITE , avec toujours de la politique : du SOIN, UNE SOCIÉTÉ DU CARE : CAR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE
- LIBERTE
- EGALITE
FRATERNITE
Sont, et seront toujours la base des sociétés : même dans la post singularité : à moins d’être seul au monde, vraiment seul au monde petit capitaliste.
Vous avez remarqué : dès qu’on donne un peu de pouvoir à un singe humain, il se croit supérieur, du contrôleur de ticket de métro, au fonctionnaire de police, et j’en passe d’autres bien pires… ( ceux auxquels vous devriez un peu plus vous intéresser pour votre survie )
LA CULTURE est une société post-pénurie ayant une économie de l’abondance (ce qui signifie que ses technologies de pointe offrent une richesse matérielle pratiquement illimitée et le confort pour tout le monde gratuitement, et ayant quasiment supprimé la notion de biens). Elle a surmonté la quasi-totalité des contraintes physiques sur la vie (y compris la maladie et la mort) et est presque totalement égalitaire. La société est de plus stable sans l’utilisation d’aucune forme de force ou de contrainte, sauf si nécessaire pour se protéger ou protéger les autres.
Les Mentaux, de puissantes intelligences artificielles jouent un rôle important dans cette société. Elles administrent cette richesse pour le bénéfice de tous. Comme un commentateur l’a dit,
- « En confiant toutes la puissance à ces intelligences Artificielles « Minds », à la fois individualistes, parfois excentriques, mais toujours bénignes, Banks savait ce qu’il faisait, c’est le seul moyen pour que l’anarchie libérale puisse être atteinte, en prenant le meilleur de l’homme et en le plaçant au-delà de la corruption , ce qui signifie hors de contrôle de l’homme. Le danger impliqué dans cette étape d’imagination, cependant, est clair; l’un des problèmes avec les romans de La Culture en tant que romans, c’est que les personnages centraux, les Minds, sont trop puissants et, pour le dire crûment, trop bons. « 1
Les protagonistes des romans du cycle de La Culture sont donc le plus souvent des gens en marge de la Culture, des diplomates, espions ou des mercenaires, ceux qui interagissent avec d’autres civilisations, et qui font le « sale boulot » de La Culture visant à modifier ces sociétés pour qu’elles soient plus proches de l’idéal de La Culture, parfois par la force, parfois par la corruption stratégique. En cela c’est une allégorie de la culture américaine présente, projeté dans un avenir de science-fiction.
AppleSeed
La Troisième Guerre mondiale a laissé le monde exsangue. Pour éviter une nouvelle horreur, les dirigeants de la planète ont lancé le projet Appleseed à travers la construction de la cité expérimentale d’Olympus dont l’administration est confiée à des êtres artificiels mi%u2011hommes mi%u2011machines appelés biodroïds. Mais cette utopie mécaniste sous estime beaucoup trop l’éternel désir humain pour la liberté totale ( en apparence toujours, c’est du marketing ) et plutôt le désir de pouvoir absolu et de folie libérée dans la croyance de la supériorité raciale, individuelle, megalomaniac. Une liberté que certains pensent devoir être gagnée à tout prix… Dunan Knutt et Briareos Hecatonchire sont tous deux des survivants de la guerre : à la demande des dirigeants d’Olympus, ils rejoignent les rangs des ESWAT de la cité radieuse pour protéger ses citoyens des divers groupuscules terroristes qui s’opposent au projet Appleseed. Mais les plus dangereux opposants d’Olympus ne sont pas forcément ceux qu’on croit…
On parle de comprendre, de se diriger, d’agir
On parle de réelle compréhension de la singularité, et également de ce qui s’ensuit : l’infinie
On ne parle pas d’une abstraction d’un problème par des chiffres de l’augmentation de telle quantité par centimètre cube. Réponse à un singe : Les plantes écoutent la musique et ne sont pas beaucoup moins évolué qu’un singe comparé à une super-intelligence.
On voit la peinture ou on ne la voit pas, on voit ou vont les acteurs ou non ( quel que soit leur jeu ).
C’est bien la seule chose qu’un cerveau humain peut encore faire , d’utile.
Il faut un cerveau d’artiste, une représentation psychovisuelle de la singularité et DES POSSIBLES
Il faut : quelqu’un qui doit bien entendu se soustraire, se distancier, être le vide de ce qu’il regarde pour ne pas l’influencer, ( seconde cybernétique, physique quantique, l’art de réellement diriger : on revient à la cybernétique )
Un sage qui ne veux STRICTEMENT RIEN dans un acte purement désintéressé, pas un visionnaire ou un fou ou un illusionniste
-
Magical thinking and charismatic leadership : il y a choses qui parraissent pour de la magie pour ceux qui ne sont pas capable de comprendre …
La GRANDE question qui est posé est :
EST CE QUE L’ON VA TUER TOUT LE MONDE OU PAS ?
La question est simple, pourquoi des singes se sont mis en tête de tuer des gens ? ( si il y a tout ce qu’il faut … tout absolument tout ) ( pour quoi )
Quand on commence une guerre on ne sait pas ou elle s’arrête …
Il suffit de se diriger dans le négatif pour y tomber, dans la singularité. Comment rattraper la folie de nos dirigeants depuis 2001 en passant par des crises économiques artificielles et arbitraires : pour « gagner le futur » mais gagner QUOI ?
Quand vous SAUREZ : que tout est possible, et qu’il y a toutes les ressources alors POURQUOI TUE T’ON DES GENS ? La réponse simple est la meilleur : POUR RIEN , par absurdité
Tuer tout le monde n’est pas une solution
Le choix était simple :
Ou voulez vous vous diriger ?
Nos dirigeantS ( ou une partie ) ont choisi de poursuivre leur folie : TOUT POUR MOI RIEN POUR LES AUTRES ( MOI PLUS FORT QUE TOUT LE MONDE CAR MOI ARGENT : mais argent = vide a l’avenir ) : encore une fois , petits singes capitalistes néolibéraux : machines à fictions et a abstractions et à erreur de prédiction , ta VISION DU MONDE RISQUE DE TE TUER
Car tu fais face à l’infinie et aux ultimes complexités.
Tu refuses une société en paix : tu n’as jamais su la choisir le SINGE
Mais pourtant à la fin c’est la machine qui pense, qui gagne : capitaliste, tu ne contrôles déjà plus RIEN
TOUT CE QUE TU VAS FAIRE C’EST DES CRIMES CONTRE LA VIE ET L’HUMANITÉ : soit RIEN
Rien qui te sauvera
POLITIQUE ET CONSCIENCE OU LA MORT
La politique est la gestion de la société et de ces personnes : avec leurs ego ( et leurs fictions , et eux même des simulacres ) :
La politique existera donc TOUJOURS , même si les néolibéralistes FOUS arrivent à tuer 99.9% de la population : tant qu’il y aura deux personnes il y aura de la politique.