Tertiaire : votre boucher est un robot, du producteur de bétail au transport, et à la boucherie sans AUCUN ÊTRE HUMAIN : OU EST VOTRE CHAINE ÉCONOMIQUE ? et votre valeur et votre création de valeur blabla d’économiste ?
Que se passe t’IL SI IL N’Y A PLUS DE CONSOMMATEUR AVEC UN POUVOIR D’ACHAT POUR CONSOMMER ? On passe à la politique, et à l’armée
Comme dans le monde de l’information (qui pèse plus que le monde réel par ailleurs ) : les entreprises productrice de produit réel deviennent des superorganismes, des monopoles vivant détruisant toute notion d’économie capitaliste ala google microsoft : plus besoin d’intermédiaire : une entreprise multinationnale fait tout, concentre tout et vend tout superbien super mieux, super pas chère. La réalité de google, c’est l’évolution du capitalisme ni plus ni moins c’est un rejeton plus évolué de microsoft : c’est qu’il y a très peu d’employé tout est automatisé et google n’est qu’une marque concentrationnaire : les employés et les dirigeants ne travaillent que dans la recherche et développement et la conquête de l’univers
La boucherie automatisé:
Avec la vendeuse robotique android SUPERSEXY SUPER-VENDEUR ET QUI FAIT MÊME D’AUTRES TRUC A COTE ! ,ou juste l’android, l’hologramme ou juste une borne : ou un supermarché avec une caisse automatique, ou un restaurant sans aucun être humain : ou vous pouvez même acheter a distance ou dans le magasin mais depuis un téléphone
La possibilité d’acheter sur internet ( pas besoin de vendeur )
Le producteur de viande et de bétail tout automatisé, ou de viande artificielle
Et le producteur de végétaux pour nourrir la viande : tout automatisé
Sans oublier le comptable, le trader et le système financier lui même tout en intelligence artificielle
leChef est un robot :
Vous voulez un kébab ?
Shawarma Slicing Robots – For all Your Kebab Needs! (Video)
Un petit tour au restaurant ?
Bangkok’s First Robot Restaurant Full of Motoman Waiters (video)
A Look Inside China’s Robot Restaurant (video)
The Robots Are The Chefs In This Japanese Restaurant
Extrait des œuvres de thouang tseu
Quand le boucher du prince Wen-houei dépeçait un bœuf, ses mains empoignaient l’animal ; il le poussait de l’épaule et, les pieds rivés au sol, il le maintenait des genoux. Il enfonçait son couteau avec un tel rythme musical qui rejoignait parfaitement celui des célèbres musiques qu’on jouait pendant la » danse du bosquet des mûriers » et le » rendez-vous de têtes au plumage » .
» Eh! lui dit le prince Wen-houei, comment ton art peut-il atteindre un tel degré? » Le boucher déposa son couteau et dit : » J’aime le Tao et ainsi je progresse dans mon art. Au début de ma carrière, je ne voyais que le bœuf. Après trois ans d’exercice, je ne voyais plus le bœuf. Maintenant c’est mon esprit qui opère plus que mes yeux. Mes sens n’agissent plus, mais seulement mon esprit. Je connais la conformation naturelle du bœuf et ne m’attaque qu’aux interstices. Si je ne détériore pas les veines, les artères, les muscles et les nerfs, à plus forte raison les grands os ! Un bon boucher use un couteau par an parce qu’il ne découpe que la chair. Un boucher ordinaire use un couteau par mois parce qu’il le brise sur les os. Le même couteau m’a servi depuis dix-neuf ans. Il a dépecé plusieurs milliers de boeufs et son tranchant paraît toujours comme s’il tait aiguisé de neuf. A vrai dire, les jointures des os contiennent des interstices et le tranchant du couteau n’a pas d’épaisseur.
Celui qui sait enfoncer le tranchant très mince dans ces interstices manie son couteau avec aisance parce qu’il opère à travers les endroits vides. c’est pourquoi je me suis servi de mon couteau depuis dix-neuf ans et son tranchant paraît toujours comme s’il était aiguisé de neuf. Chaque fois que j’ai découpé les jointures des os, je remarque les difficultés particulières à résoudre, et je retiens mon haleine, fixe mes regards et opère lentement. Je manietrès doucement mon couteau et les jointures se séparent aussi aisément qu’on dépose de la terre sur le sol. Je retire mon couteau et me relève; je regarde de tous côtés et me divertis ici et là ; je remets alors mon couteau en bon état et le rentre dans son étui.
Très bien, dit le prince Wen-houei. Après avoir entendu les paroles du boucher, je saisis l’art de me conserver. «
L’homme parfait ( au sens spirituel ) est une machine ( prendre une connotation neutre ) … …
Et il dit à l’empereur sur le bucher : » Puisque tu m’as cuit d’un côté, pourquoi ne viendrais tu pas me manger ! »
Barbecue : De l’ancien français, barbeque, le fait d’embrocher un animal ou un humain de part en part, de la barbe à la queue, ou au cul si c’est votre préférence, en vue de le cuir sur un feu de bois champêtre. Prévoir ustensiles pour consommer sur place.
Découenner / écorcher, action de retirer la peau d’un animal ou d’un humain en vue d’accéder plus facilement au supplice de la chaire. Victime : Vivante pour la torture ou morte pour la conservation et l’hygiène, l’action de saler la chaire permet de garantir supplice et délice toute l’année. Il faut noter qu’ici la douleur peut tuer, il est souhaitable de prendre son temps et cautériser.
Déboyauter : action de retirer les boyaux de l’animal ou de l’humain qui sont généralement impropre à la consommation, ou doivent être nettoyés et cuit dans de l’eau bouillante, servit chaud, ou conservé en pâtée, ou utilisé comme peau pour saucisse, saucisson…
Art culinaire anglais : plat ultime, haricot et pomme de terre, et fish n ships : et sucreries avec édulcorants artificiels. Voir aussi plagiat culturel, KFC, kebab, et plat épicé indien. ( rien de personnel, vive le multiculturalisme 🙂 )